Un sport au sein d’une association, seul moyen de pratiquer en intégrant les valeurs de respect des règles, le respect des autres et une pratique pour le plaisir de se dépasser soi-même. Les évènements de juin montrent à quel point notre jeunesse et notre société ont besoin de cette éducation.

En effet, nos associations véhicules le sport pour toutes et tous, le sport santé, le sport sénior, le sport comme un facteur d’éducation et de vivre ensemble. Le sport comme facteur de lien sociale et d’intégration. Mais plus simplement l’activité physique et sportive permet de développer le bien être dans la vie quotidienne de travail et de stress que peut représenter une grande ville.
Faire du sport c’est être mieux dans son être.
C’est le combat de toutes nos associations et de leurs bénévoles à des tarifs abordables.

Mais est-ce bien compris au plus haut niveau de l’état ou de notre ville et de son administration sportive, je ne crois pas. D’année en année je ne peux que constater une dégradation lente mais continue de nos situations.

Pour certaines de nos associations après le bouleversement COVID, l’accueil des JO dans notre arrondissement et la fermeture d’un certain nombre d’équipement n’arrangera pas les situations, et l’OMS 18 comme vous en subit les conséquences.
Sans vouloir faire de procès d’intention nous pouvons quand même nous poser la question de l’avenir de nos petites associations lorsque l’on sait que la baisse des subventions a déjà été annoncée pour l’après 2024.

Si la perte de notre local fut un coup dur pour l’OMS 18 sans que la mairie ne puisse y faire grand-chose, mais que malgré tout je nous compare à d’autres OMS parisiennes je ne peux que constater que financièrement nous nous en sortons plutôt mieux. Nous n’avons pas eu à subir de baisse de nos subventions. Je me dois donc de remercier Monsieur le Maire Éric Lejoindre, son adjoint au sport M. Mams Yaffa et les élus de l’arrondissement pour leur soutien lors des arbitrages en conseil de Paris.